Beckham

Si vous n’avez pas vécu l’apogée de la carrière de la superstar du football britannique David Beckham, il est difficile de comprendre à quel point il était célèbre. Le documentaire en quatre parties Beckham plonge dans les moindres détails, de l’enfance dans une famille de la classe ouvrière londonienne à l’émergence de son talent athlétique, en passant par sa carrière record sur le terrain et les nombreux titres des tabloïds le mettant en vedette. C’est un docu à ne pas manquer pour les amateurs de sport ou pour ceux et celles qui s’intéressent à sa relation avec Victoria «Posh Spice» Beckham – selon Netflix, les réalisateurs ont bénéficié d’un «accès sans précédent» à l’ensemble de la famille. Ça promet!

À voir dès le 4 octobre.

Everything Now 

Maintenant que la série Sex Education est terminée, il y a un vide à combler dans le domaine des comédies dramatiques comiques, mais poignantes, qui s’adressent à plusieurs générations. Everything Now semble être prête à prendre la relève. La série britannique suit Mia (Sophie Wilde), une adolescente qui a passé des mois à se rétablir d’un trouble alimentaire. Maintenant qu’elle s’en est sortie, elle est déterminée à rattraper le précieux temps perdu et elle dresse une liste d’expériences typiques d’une adolescente qu’elle veut vivre le plus rapidement possible.

À voir dès le 5 octobre.

Lupin (3e partie)

Lupin est une télésérie élégante, sexy, intelligente et palpitante – et on en redemande toujours plus! De retour pour un troisième volet, la série française reprend peu de temps après la fin de l’histoire. Le gentleman cambrioleur Assane Diop (Omar Sy) a été accusé de meurtre, ce qui fait de lui l’homme le plus recherché du pays et place une pression et une attention démesurées sur son ex-femme et son fils adolescent. Assane est toujours en fuite, mais ça ne l’empêche pas de faire ce qu’il fait le mieux: cambrioler des endroits luxueux. Cependant, de mystérieuses personnes de son passé refont bientôt surface, et ses plans savamment élaborés ne suffiront peut-être plus à protéger ceux qu’il aime.

À voir dès le 5 octobre.

Fair Play

Daphne, de manière compréhensible, n’a pas eu une place importante dans la deuxième saison de Bridgerton, c’est pourquoi je suis heureuse de voir l’actrice Phoebe Dynevor entrer dans un rôle très différent. Dans le thriller psychosexuel Fair Play, la Britannique joue aux côtés d’Alden Ehrenreich dans le rôle de collègues de travail d’un fonds de placement spéculatif. Leur secret? Ils entretiennent une relation très sérieuse (ils viennent de se fiancer) et personne au bureau n’en a la moindre idée. Mais lorsque l’un des deux obtient une promotion inattendue, leur dynamique change radicalement, mettant leur relation – et leur carrière – en péril.

À voir dès le 6 octobre.

The Fall of the House of Usher 

À l’heure actuelle, on ne peut parler d’Halloween sans qu’il y ait une nouvelle série ou un nouveau film de Mike Flanagan (le cinéaste à l’origine de titres comme Gerald’s Game et The Haunting of Hill House) qui obsède les amateurs d’horreur. Cette fois-ci, il s’agit de The Fall of the House of Usher, une minisérie inspirée des œuvres gothiques d’Edgar Allan Poe. La série a également des airs de Succession – avec beaucoup plus de morts et de sang – puisqu’elle suit la famille à l’origine d’une entreprise pharmaceutique corrompue dont le patriarche est forcé de faire face à son passé lorsque les héritiers de sa fortune commencent à mourir les uns après les autres. Carla Gugino, Bruce Greenwood, Zach Gilford, Carl Lumbly, T’Nia Miller, Rahul Kohli et Mark Hamill font partie de la distribution.

À voir dès le 12 octobre.

Bodies 

La bande-annonce de Bodies commence ainsi : «Vous n’êtes pas le premier détective à découvrir ce corps.» Ça suffit amplement à nous accrocher à cette série policière britannique de science-fiction. Adaptée du roman graphique éponyme de Si Spencer, l’intrigue démarre à notre époque, lorsqu’un sergent de police londonien trouve un homme mort et nu dans la rue. Au fur et à mesure qu’elle avance dans son enquête, il devient évident que cette affaire est parallèle à trois autres qui se déroulent à des époques différentes: 1890, 1941 et 30 ans dans le futur.

À voir dès le 19 octobre.

Neon 

Nous sommes nombreux à avoir rêvé dans notre enfance de devenir célèbres, mais peu d’entre nous ont vraiment tenté de se propulser au sommet. Produit par Daddy Yankee, Neon suit un aspirant musicien reggaeton et ses meilleurs amis qui déménagent à Miami pour tenter de se faire une place dans l’industrie de la musique.

À voir dès le 19 octobre.

Doona!

Une romance qui implique une personne célèbre et une personne «normale»? On adore – très Notting Hill! La série coréenne Doona! suit Lee Doo-Na (interprétée par l’immensément populaire Bae Suzy), la chanteuse principale d’un groupe populaire qui a soudainement pris sa retraite. Elle passe désormais la plupart de son temps dans une maison en colocation située près d’une université, et n’en sort que rarement. Mais lorsque Lee Won-Joon (Yang Se-Jong) emménage et qu’une chimie se développe, tous deux risquent de dire adieu au statu quo.

À voir dès le 20 octobre.

Pain Hustlers 

Emily Blunt, Chris Evans et Catherine O’Hara dans le même film? Oui, s’il vous plaît! Le trio est à l’affiche du drame policier Pain Hustlers, inspiré de faits réels, qui raconte l’histoire d’une mère célibataire, Liza, qui se lance dans la vente de produits pharmaceutiques et s’engage sur une voie dangereuse et éthiquement douteuse. Plus elle s’enfonce dans le système de l’entreprise, plus il devient urgent pour elle de décider quel genre de personne elle veut devenir.

À voir dès le 27 octobre.

Yellow Door: ’90s Lo-fi Film Club 

Si vous êtes un fan des films de Bong Joon-ho comme Parasite, ou du cinéma et de la télévision coréens en général, Yellow Door: ’90s Lo-fi Film Club est un must. Ce charmant documentaire revient sur l’émergence du cinéma populaire en Corée du Sud, à l’époque où les clubs de cinéma des campus donnaient aux jeunes adultes la possibilité d’étudier sérieusement et de développer leur talent dans le domaine de la réalisation. Le réalisateur Bong était membre de ces clubs, tout comme le documentariste Lee Hyuk-rae, et tous deux (parmi d’autres) offrent un aperçu fascinant de cette époque.

À voir dès le 27 octobre.

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