Les vaccins sont l’une des avancées les plus importantes de la médecine moderne – une façon efficace d’aider à se protéger contre certaines infections et maladies évitables. Il est donc primordial de connaître les différents vaccins offerts pour nous aider à prendre notre santé en main.

Par exemple, les vaccins contre le virus du papillome humain (VPH) – dont le premier a été autorisé au Canada en 2006 – peuvent aider à prévenir certains cancers et maladies liés au VPH.

LE VPH NE FAIT PAS DE DISTINCTION

Le VPH est une infection transmise sexuellement qui est étonnamment commune. De plus est, toute personne qui est active sexuellement, ou qui l’a été est à risque. On estime que trois Canadiens sexuellement actifs sur quatre contracteront au moins une infection par le VPH au cours de leur vie. Et le fait d’être en couple ne nous en protège pas nécessairement! Même dans une relation monogame, l’un des deux partenaires pourrait être infecté sans présenter de symptômes et transmettre le virus. Certaines personnes ayant contracté le VPH arrivent à vaincre le virus naturellement, tandis que d’autres non, ce qui peut engendrer un cancer du col de l’utérus ou d’autres types de cancers ou de maladies liés au VPH.

LE VPH, RESPONSABLE DE PRÈS DE 100 % DES CANCERS DU COL DE L’UTÉRUS

Le cancer du col de l’utérus arrive au troisième rang des cancers les plus fréquents chez les femmes canadiennes âgées de 20 à 40 ans et, chaque année, environ 1400 nouveaux cas sont diagnostiqués partout au pays. Son lien avec le VPH est clair: lorsqu’une femme contracte certains types de VPH et que le virus ne se résorbe pas de lui-même, il peut entraîner le développement de lésions anormales et précancéreuses. Le test Pap sert à détecter les cellules anormales; si elles ne sont pas repérées et traitées assez tôt, un cancer peut se développer.

ELLES N’AURAIENT PAS CRU QUE CELA PUISSE LEUR ARRIVER

L’équipe de GARDASIL®9 a récemment rassemblé un groupe de Canadiennes (ou des membres de leur famille) ayant reçu un diagnostic de cancer du col de l’utérus, les invitant à échanger sur leur expérience et sur ce qu’elles ont appris en cours de route. Ces femmes ont témoigné d’une histoire remplie de courage, de conviction et de compassion. L’une d’entre elles, Heather*, affirme avoir été complètement sous le choc en recevant son diagnostic à l’âge de 27 ans, peu de temps après avoir accouché. «J’étais à l’apogée du bonheur dans ma vie, confie-t-elle. Dans la vingtaine, on se pense invincible; on ne songe jamais à la possibilité que tout puisse être chamboulé.»

Depuis son cancer, Heather travaille à sensibiliser les gens aux cancers causés par le VPH. Son message: il existe des vaccins qui peuvent aider à vous protéger.

L’IMPORTANCE DE SE PROTÉGER

Un vaccin contre le VPH comme le GARDASIL®9 peut aider à  vous protéger de manière efficace contre certains types de VPH pouvant causer le cancer du col de l’utérus ou d’autres types de cancers ou de maladies. La bonne nouvelle: pour bon nombre de personnes, la vaccination contre le VPH est gratuite au Canada. (Le financement de GARDASIL®9 par le gouvernement varie cependant d’une province ou d’un territoire à l’autre et selon  votre âge. Vérifiez auprès de la santé publique de votre province pour en savoir plus sur la couverture offerte par votre gouvernement.) Même si  vous n’êtes pas admissible à la couverture gouvernementale, plusieurs régimes d’assurances privées remboursent une partie ou la totalité du coût du GARDASIL®9.

La vaccination à l’aide de GARDASIL®9 peut aider à la prise en charge de cet aspect de  votre santé; pour les femmes âgées de 18 à 45 ans, la vaccination peut réduire le risque de développer un cancer du col de l’utérus. Pour plus d’information, visitez Gardasil9.ca.

*Patiente canadienne réelle atteinte du cancer du col de l’utérus. Son expérience n’est pas celle vécue par toutes les patientes.

Le GARDASIL®9 aide à protéger les femmes âgées de 9 à 45 ans contre les cancers du col de l’utérus, du vagin, de la vulve et de l’anus causés par le VPH des types 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58, ainsi que les verrues génitales causées par le VPH des types 6 et 11. Le GARDASIL®9 ne traite pas les infections par le VPH ni le cancer du col de l’utérus, et il peut ne pas apporter de protection complète à toutes les personnes vaccinées. C’est pourquoi les femmes doivent continuer de passer un test de routine pour le dépistage du cancer du col de l’utérus. Le GARDASIL®9 n’est pas recommandé chez les femmes enceintes. Il risque également de provoquer des effets secondaires et des réactions allergiques.

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