Qu’est-ce qui fait la force de la pièce Moi, dans les ruines rouges du siècle, d’Olivier Kemeid?

C’est une pièce fantastique, qui joue sur la ligne entre la réalité et la fiction, qui est à la fois touchante, humaine, drôle et très instructive; on en apprend beaucoup sur la difficile histoire de l’Ukraine. Je me considère comme très de reprendre le rôle qui était défendu par Sophie Cadieux dans la production originale en 2012.


Dans la télésérie Au secours de Béatrice, vous incarnez Éléonore, une jeune toxicomane à la santé mentale fragile. Quels étaient les défis liés à ce personnage?

Le danger était d’en faire trop, de jouer toutes les couches de sa personnalité trouble: la paranoïa, la dépendance affective, la manipulation… Je ne voulais pas tomber dans caricature. J’ai donc décidé d’approcher Éléonore en croyant absolument tout ce qu’elle avançait, même si c’était faux.


Les jeunes téléspectateurs vous connaissent déjà sous les traits de Mouline dans l’émission 1, 2, 3… Géant, mais ils vous découvriront dans un autre rôle bientôt, n’est-ce pas?

Je serai le robot Pixelle, de la nouvelle émission jeunesse Salmigondis, qui sera diffusée en septembre prochain. C’est un genre de Toy Story, où plein de jouets (un monstre, un cowboy, un pompier, une ballerine, une sorcière…) essaient de vivre ensemble. C’est bien amusant! (Moi, dans les ruines rouges du siècle, du 7 au 18 avril, au Théâtre Périscope, puis du 19 au 23 mai, au Théâtre de Quat’Sous)  

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