J’ai rencontré Marie-Michèle au moment même où je réussissais à guérir d’une douloureuse peine d’amour qui m’avait submergée pendant près de deux années. Les morceaux de mon cœur éparpillés aux quatre coins de mon appartement enfin recollés, je reprenais peu à peu confiance en moi, un sourire fin aux lèvres, le pas non pas léger, mais un rien plus sautillant. Marie-Michèle est entrée dans ma vie à la vitesse grand V, d’abord comme collègue, puis en tant qu’amie précieuse, avec son fou rire en cascade, ses cheveux blonds soleil, sa gentillesse en velours et ses yeux bleus comme l’océan où il fait bon nager jusqu’à en être toute ratatinée. Je pense que je l’ai tout de suite aimée. J’ai découvert en elle une personne de qualité comme il en existe peu (pour ne pas dire pas !), qui me faisait sentir bien dans ma peau, me rendait plus drôle, plus belle, plus intéressante rien qu’en me côtoyant, qui me donnait envie de faire des plans pour le futur et de partager des expériences, voyages, sorties avec elle, rien qu’elle. Ça m’a pris près de quatre ans avant de réaliser que j’étais profondément, intensément, entièrement amoureuse d’elle. Et elle de moi. Il faut dire qu’avant ça, j’avais presqu’exclusivement fréquenté des hommes, que j’ai tous trouvés durs, fermés, difficiles à suivre et à vivre. Marie-Michèle, elle, débarquait dans ma vie comme une brise d’été, douce et enveloppante. À ses côtés, mes jours étaient paisibles mais excitants, et mon bonheur serein mais éperdu.

Quand on a enfin fait de la place pour notre histoire d’amour, tout a déboulé assez vite. Dès les premiers jours de notre relation, on ne s’est plus lâchées ; il allait donc de soi qu’on devait emménager ensemble, voyager ensemble, vieillir ensemble. C’est elle la première, après quelques mois de fréquentation, qui m’a demandée en mariage, un soir d’automne comme un autre, alors qu’on regardait un vieux film assez mauvais merci à la télé. J’ai dit non, pour la forme. C’était trop tôt, non ? Trop rapide, trop expéditif ? Qu’allaient penser nos parents, nos amis ? Je l’ai regretté illico. J’aurais dû suivre mon cœur, pas ma tête-qui-pense-toujours-trop. Une centaine de jours plus tard, en vacances à l’extérieur de la ville, enivrées par un champagne cheap et notre passion toujours grandissante, je lui ai demandé si elle avait emmené la bague qu’elle avait fait faire sur mesure avec elle, que j’avais à peine entrevue à l’époque. Elle m’a dit oui. «Offre-la moi à nouveau, stp», lui ai-je répondu. Quand elle me l’a tendue cette fois, les mains tremblantes, c’est tout un monde fait de magie et d’amour que j’ai vu dans la petite boîte – et dans ses yeux. «Oui, mille fois oui.» À ce jour, c’est la meilleure décision que j’ai prise.

Tiffany & nous

Quand Tiffany & Co. nous a proposé de raconter notre histoire et de prendre la pose avec nos bijoux favoris, nous avons tout de suite dit oui. Non seulement nous sommes de grandes fans de la célèbre maison de joaillerie qui se réinvente constamment, nous avons eu beaucoup de fun à sélectionner nos pièces chouchous – et à rêver de pouvoir se les offrir pour notre mariage prévu en novembre de cette année. Voici nos choix.

Pour Marie-Michèle : le bracelet jonc en or jaune 18 carats Cadenas Tiffany, de Tiffany & Co., 8550 $. tiffany.ca

«Si je possédais ce bracelet en or massif, qu’on peut «barrer» sur notre poignet pour ne pas le perdre, je ne l’enlèverais jamais ! Il est spectaculaire en tous points.»

Pour Joanie : les pendants d’oreilles Vigne à diamants en platine Tiffany Victoria, de Tiffany & Co., 51 000 $. tiffany.ca

«De toute ma vie, je n’ai jamais vu plus chics pendants d’oreilles ! Je me verrais très bien les porter pour notre mariage intime, avec une robe simple et sobre ; la classe ultime !» 

Pour le couple : le bracelet jonc en or blanc 18 carats Cadenas Tiffany, de Tiffany & Co., 8550 $. tiffany.ca

«À porter avec un combo jean/t-shirt ou une robe de soirée glamour, ce bracelet jonc unisexe et versatile est à la fois inclusif (il se décline en différentes grandeurs), magnifique et intemporel.»

La version originale de cet article a été produite par ELLE Canada pour Tiffany & Co.

Photographe Andréanne Gauthier
Coiffure Andrew Gilbert
Maquillage Jean-François CD

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