Dans la tendance

Tous les blonds, du polaire au doré
Le roux profond, avec des reflets cannelle
Le châtain, avec des reflets caramel
Le brun chocolat
Le shadow roots, qui crée un effet subtil de repousse, pour toutes les couleurs

On prévoit une consultation

Avant même de causer couleur avec un expert, on énumère tout ce qu’a subi notre chevelure dans la dernière année. Ça permet d’évaluer la santé capillaire et de déterminer la technique et la couleur qui seront appropriées.

On parle en images

Rien ne remplace une photo pour évoquer une couleur. Surtout, on évite les termes techniques, souvent source de malentendus, à moins de s’y connaître.

On découvre notre sous-ton

Le sous-ton, qui transparaît sous la surface de la peau, est différent de la couleur de l’épiderme, et c’est lui qui dicte les nuances qui nous iront le mieux. Un sous-ton froid (tirant sur le rose) appelle des couleurs cendrées, polaires, violines ou acajou foncé. Un sous-ton chaud (pêche ou doré) appelle une nuance dorée ou cuivrée. Quant au sous-teint neutre, plutôt rare, il s’harmonise à toutes les couleurs. La couleur de l’iris de l’œil (chaude ou froide) joue aussi un rôle pour obtenir l’harmonie la plus réussie.

On voit si c’est réalisable

On est vraiment prête pour un changement? On en discute pour s’assurer que c’est possible de le faire, en une ou plusieurs étapes. La coloriste peut nous soumettre un plan de coloration détaillé.

On parle franchement temps et argent

A-t-on une vie trop remplie ou un budget trop serré pour passer au salon toutes les quatre semaines? Si oui, il vaut mieux opter pour une couleur qui exige moins d’entretien.

On apprivoise la nouveauté

On se donne une bonne semaine pour s’habituer à notre nouvelle couleur. On en profite pour adapter notre maquillage; parfois, changer de rouge à lèvres suffit. Insatisfaite malgré tout? On en discute avec notre coloriste, qui apportera la correction nécessaire.

Imaxtree

Bon à savoir

Les tons et les reflets qui durent le plus longtemps? «Les dorés, suivis des marrons, des cendrés et des polaires. Les roux, surtout les plus flamboyants, pâlissent plus vite. C’est aussi le cas des noirs, surtout s’ils sont bleutés. La raison? Plus le diamètre du pigment coloré est important, moins celui-ci reste emprisonné dans la fibre capillaire», affirme Véronique Beaupré, propriétaire du local B.

Pour une couleur qui dure

Véronique Beaupré rappelle que le soleil, l’eau et l’humidité sont les ennemis jurés de la coloration. On s’en protège, on espace les shampooings et on sèche bien nos cheveux, qu’on attache au besoin. Et on adopte les gestes anti- affadissement suivants sans tarder:

Chez soi

+ Après le shampooing habituel, on applique un shampooing enrichi de pigments colorés, qui ravive l’éclat des cheveux instantanément. On peut terminer par un revitalisant ou un masque pigmenté. On détermine la fréquence selon l’intensité voulue.

+ On opte pour un shampooing sec sans sulfates, ce qui permet d’espacer les lavages.

+ On protège la couleur des radicaux libres en utilisant une huile protectrice. + On bannit les shampooings antipelliculaires ou ceux qui sont bourrés de sulfates.

Au salon

+ Après la coloration, on s’offre un soin personnalisé Fusio-Dose, de Kérastase, protecteur et raviveur express de couleur (35 $ environ, selon le salon).

+ Entre les colorations, on adopte un gloss capillaire, transparent pour faire briller la couleur, ou pigmenté pour la rehausser, l’intensifier de quelques tons ou lui apporter des reflets. L’effet dure jusqu’à huit semaines (45 $ environ, selon le salon).

Huile rose élixir ultime, de Kérastase

Prix: 60$

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Shampooing strenght cure blonde, de Pureology

Prix: 43 $

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Shampooing sec sous forme de mousse cheat day, de Pantene Pro-V

Prix: 9 $

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